
Disons clairement que la randonnée de ce matin était plutôt réservée aux marcheuses et marcheurs qui n’ont pas froid aux yeux, l’élite de chez Élan, n’ayons pas peur des mots ! Ceci dit, on est tout disposés à admettre que les absents avaient de bonnes excuses, on va pas leur jeter la pierre…

Tout ça pour dire qu’on s’est fait copieusement saucer durant environ la moitié du parcours d’une dizaine de kms concocté par Bernadette.

Alternance de bitume et de chemins étroits et glissants, comme par hasard dans les descentes…

Encore une fois (et sans doute pas la dernière) selon la fameuse formule, le soleil brillait par son absence.

Xavier, en sa qualité d’agriculteur averti, nous fait remarquer le champ de blé attaqué par je ne sais plus quel parasite (excuse-moi, Xavier…)

Forcément qu’ils sont à la fête, les gastéropodes, nous prenions garde de les écarter du chemin, étant donné que l’on avait aucune arrière-pensée culinaire.

Dans le fond, un terrain en pente qui sert, parait-il, de piste d’envol pour parapente.

Il manque juste le doux gazouillis de la cascade, mais on vous laisse l’imaginer.

Nous sommes dans une région de production de céramique, d’où l’emploi des tuiles pour des usages inhabituels.

De retour à l’église, le gisant sur le sol n’est pas forcément plus fatigué que les autres, il se souvenait simplement que lors d’une précédente rando, tout le monde avait adopté cette position. nostalgie…






A bientôt.